« À Benghazi, il y avait des snipers partout. J'ai fini à plat ventre dans les rues,
c'était un véritable carnage. J'ai réanimé un des mes étudiants
de 6e année de médecine,
il avait pris une balle dans la tête,
qui lui était sortie par la bouche.
Comme les autres jeunes,
il était parti,torse nu, attaquer les points stratégiques du gouvernement.
Ils sont prêts à mourir, ils s'en foutent,
ils n'ont pas d'arme.»
« C'EST AVEC UNE IMMENSE TRISTESSE QUE JE ME DOIS DE VOUS ANNONCER QUE LE BÉBÉ
N'EST PAS DE MOI.
DEVANT MON INSISTANCE DE FAIRE UN TEST ADN, DANYELLAH M'A AVOUÉ LA VÉRITÉ ET
LE TEST L'A CONFIRMÉE. JE REGRETTE QUE NOUS AYONS À PARTAGER CET ÉNORME CHAGRIN ET CETTE TERRIBLE DÉCEPTION.» (Facebook.com, 22 février 2011.)
« Je ne me suis pas déshabillée et je n'ai pas fait d'exhibition sexuelle. J'étais la seule fille à garder mes vêtements et pour avoir quelque chose à faire j'apportais de temps en temps au
Premier ministre des Sanbitter », une boisson non alcoolisée populaire en Italie. (Le Point.fr, 19 février 2011.)
« Si j'avais pensé qu'il y avait une faute, j'aurais agi. » Nicolas Sarkozy est revenu jeudi sur les deux sujets qui ont vampirisé l'actualité politique de ces derniers jours. (Le Figaro.fr, 11 février 2011.)
« J'espère que les femmes des hommes politiques de ce pays me suivront ». Car le chantage au sexe aurait déjà
fait ses preuves Au Kenya. (Le Parisien.fr, 8 février 2011.)
« Je n'étais pas payée pour être cheminote,
le téléphone ça existe et je passais beaucoup de temps en ligne avec
Pierre Mauroy et Bernard Masset »
(directeur de cabinet du maire de Lille,
co-accusé pour complicité).